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La Peruse

La Peruse
La Peruse est un des affluents de la rive droite de la Charente. Elle prend sa source au sud de la commune de Sauzé-Vaussais, elle quitte rapidement le département pour rejoindre, après une quinzaine de km vers le sud, le fleuve Charente à Ruffec.

L’Aume et la Couture

L’Aume et la Couture
L’Aume et la Couture sont deux petits affluents droits de la Charente.
L’Aume prend sa source à Bouin, à l’altitude 101 mètres, à l’extrême sud du département et passe rapidement dans le département voisin de la Charente. Après 32.2 km, elle rejoint la Charente à Ambérac, à l’altitude 51 mètres.
La Couture ( 24,5 km) prend sa source près de Aubigné au bord de la forêt de Chef-Boutonne, passe à Les Gours et rejoint le même confluent.
Autrefois, l’Aume au nord de Longré formait une succession de zones marécageuses, la faible déclivité, les biefs nombreux et le cours sinueux rendaient cette zone insalubre, jusqu’aux travaux de dessèchement réalisés à partir de 1791.

“Aume (cours d’eau).” Wikipédia, l’encyclopédie libre. 21 mar 2010, 08:51 UTC. 26 sep 2010, 14:13
http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Aume_(cours_d%27eau)&oldid=51367037

La Boutonne

La Boutonne 
Le réseau hydrographique du bassin versant de la Boutonne s’étend sur une surface totale de 1320 km², arrosant 41 communes et deux départements. Il est subdivisé en trois parties qui correspondent aux différents secteurs de sa vallée fluviale, le bassin amont (lieu de source et cours supérieur de la rivière), le bassin moyen (ou vallée moyenne) et le bassin aval (ou basse vallée jusqu’au lieu de confluence)
La Boutonne prend sa source dans le sud-est du département à Chef-Boutonne. Son lieu de source qui correspond à une fontaine au cœur même du bourg se trouve à 85 mètres d’altitude. Mais sa véritable source est située d’après l’Institut Hydrographique Départemental, sous le rocher du château de cette ville à une altitude de 86 m.
Son cours supérieur situé dans le département des Deux-Sèvres, est grossi de nombreux petits émissaires dont la Béronne et la Belle, ses deux principaux affluents de rive droite.
A Brioux-sur-Boutonne, lieu de confluence avec le ruisseau de l’Aiguière, la vallée est à 51 mètres alors qu’elle n’est qu’à 13 km de son lieu de source.
Plus en aval, à Chizé, la Boutonne qui a été grossie des eaux de la Béronne, puis de la Belle, commence à prendre une certaine envergure et sa vallée descend rapidement à 37 mètres. C’est à partir de là que son parcours commence à devenir sinueux et parsemé d’îles.
Sa vallée moyenne se caractérise par un parcours pittoresque dessinant de profonds méandres dans une vallée encaissée dès son entrée dans le département de la Charente-Maritime et, ce, jusqu’en amont de Saint-Jean-d’Angély. En aval de Saint-Jean-d’Angély, principale ville qu’arrose la rivière, commence la basse vallée de la Boutonne jusqu’à son lieu de confluence avec la Charente à Carillon, commune de Cabariot, à quelques kilomètres en amont de Tonnay-Charente..
La longueur totale de son cours est de 98,8 km, ce qui en fait le plus long affluent de rive droite de la Charente.
Les affluents mentionnés ci-dessous sont nommés d’amont en aval par rapport au cours de la rivière.
Rive droite
” L’Aiguière, ruisseau qui conflue à Brioux-sur-Boutonne.
” La Béronne[4] , rivière qui arrose Melle.
” La Belle[5], rivière qui arrose Celles-sur-Belle.
” La Trézence, principal affluent en Charente maritime.
Rive gauche
” La Brédoire, petit ruisseau qui conflue avec la Boutonne au village de Nuaillé-sur-Boutonne
” La Saudrenne, petit ruisseau qui coule au nord de la commune de Paillé.
” Le Padôme, petit ruisseau qui conflue avec la Boutonne au village de Vervant et au pied de son château.
” La Nie conflue avec la Boutonne en amont de Saint-Jean-d’Angély, dans la commune de Saint-Julien-de-l’Escap.
Débit de pointe en décembre 1982 : 220 m3/s

Les principales communes arrosées par la rivière sont dans le département Chef-Boutonne, Brioux-sur-Boutonne, Chizé et Le Vert,
Sur tout son bassin et ses affluents, de nombreux moulins parsemaient son cours. La particularité des meuniers de la Boutonne était qu’ils possédaient presque tous deux moulins, l’un à eau et l’autre à vent, pour pallier les périodes récurrentes de sécheresse qui ont toujours sévi sur le bassin.
La Boutonne est une rivière encore parsemée de nombreux ouvrages hydrauliques souvent peu entretenus. Les moulins qui, par leurs déversoirs, régulaient autrefois le niveau de la rivière ont en majorité disparu.

“Boutonne.” Wikipédia, l’encyclopédie libre. 9 sep 2010, 22:30 UTC. 26 sep 2010, 20:11
http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Boutonne&oldid=56965548

Le Lambon

Le Lambon

Le Lambon prend sa source à Goux, commune de La Couarde, à une altitude de 156 mètres.
Il se jette à Niort dans la Sèvre Niortaise près de la source du Vivier.
D’une longueur de 37,85 km, il s’étend sur les communes de La Couarde, Beaussais, Vitré, Thorigné, Prailles, Mougon, Aigonnay, Fressines, La Crèche, Vouillé et Niort, soit 11 communes.
Il naît d’une multitude de sources, qui ont la particularité d’être situées à la cote 155 au dessus du niveau de la mer.
De la source jusqu’à Thorigné, il entaille une partie du plateau Mellois avec ses terres rouges à châtaigniers (argiles et silex) .
Cette partie est une région bocageuse, les fermes sont dispersées, les villages éparpillés.
De sa source à l’entrée du plan d’eau du Lambon, le cours d’eau perd déjà 50 mètres de dénivelé.
De Fressines à Niort, le Lambon coule dans la plaine céréalière du pays niortais.
La structure géologique est différente, les terres de groies recouvrent la roche calcaire, la pente est faible, le ruisseau est sinueux.
Ses affluents :
” en rive gauche : le Fombelle
” en rive droite : le Lussaudière, le Villebeurre, l’Aigonnay et le Mayolle
(d’après site de la commune de Fressines)

Lambon à Niort © Alain Buchet -APIEEE

La Courance

La Courance
La Courance prend sa source sur les contreforts de la plaine sur la commune de St Matin-de-bernegoue entre 52 et 60 m d’altitude. Elle se jette après 36 km dans le vieux-Mignon au niveau du barrage de Cabin à St Hilaire la Palud.
A partir de son cours moyen à la hauteur de Frontenay Rohan-Rohan, la Courance revêt une physionomie de marais et appartient de ce fait à la Zone Humide du Marais Poitevin.
En raison de sa sinuosité, de ses nombreux chenaux dans sa partie aval, de la variabilité de sa dénomination ( canal de la petite ronde, ruisseau du vivier, la Mère…), il est parfois difficile de la distinguer de ces chenaux et biefs.
Les 18 affluents de la Courance représentent environ 80 km de linéaire. Les principaux sont le Râleau, le ruisseau de Limaille, le Marnais, le Bassinet, la Fontaine Sarrazin, la Fenée, le Coquet et le Nioteau.
De nombreux biefs complètent ce réseau hydrographique, notamment ceux de Granzay-Gript, de Montereau, d’Epannes, d’Amuré, du Bourdet et de Sazais.

Les ouvrages hydrauliques sont nombreux, 46 barrages sont recensés sur le bassin de la Courance, dont 41 sur la Courance et ses biefs, barrages à poutrelles majoritairement, et à vantelles dans la partie aval après la commune du Bourdet.

Comme pour le Mignon, le régime hydrique de cette rivière est de type pluvial, caractérisé par étiage estival de juin à septembre et de hautes eaux hivernales et printanières. Les hydrogrammes établis par la DIREN à partir de mesures en 1994 et 1997 donnent un débit mensuel variant de 6 m3/s en janvier à 2 à 3 m3/s en juin et novembre et un débit nul en août de ces années là.
Il semble bien que la rivière n’est pas pérenne dans sa partie amont avant Granzay-Gript, l’enquête de la Prefecture des Deux-Sèvres en 1838 indique bien que la Courance est sans eau en amont à Marigny. Cependant ce phénomène n’était pas observé en aval, à Epannes en 1945 notamment, également en 1976 où ce secteur serait resté en eau toute l’année.
D’après IBSN.CRE Guirande, Courance, Mignon 2004 .Etat des lieux-Diagnostic.

Le Mignon

Le Mignon
La longueur totale de son cours est de 45,9 km, ce qui en fait le plus long affluent de rive gauche de la Sèvre niortaise. La superficie du bassin versant est de 229 km2.
Le Mignon prend sa source dans la commune de Dœuil-sur-le-Mignon (17) aux sources de la Martine. Cependant le lieu de source du Mignon donne lieu à un désaccord, certains riverains considèrent que la source du Mignon se situe à la source du Non à Boisserolles, ou à l’amont des ” Connilières ” à Villeneuve-la-comtesse, ou encore pour les services hydrologiques du SANDRE à Prissé-la-Charrière en Deux-Sèvres.
Le Mignon ne traverse qu’une seule ville, Mauzé-sur-le-Mignon, à partir de laquelle son cours est canalisé depuis 1843 sur 17 km. A partir de là, le canal du Mignon traverse la zone humide du Marais Poitevin jusqu’à son site de confluence avec la Sèvre niortaise partagé entre les communes de La Ronde en Charente-Maritime et de Maillé en Vendée où est située l’écluse de Bazoin.
L’affluent principal du Mignon en rive droite est la Courance (36 km) qui rejoint le Vieux Mignon très en aval, en limite du département sur la commune de St Hilaire la Palud, également les Alleuds (11km), le Non (8km) tout en amont, provenant de la forêt de Chizé, puis en rive gauche la Coudre (7 km), la Subite (7 km) et le Vendié (13 km) du coté Charentais.
Le fonctionnement hydraulique du Mignon, comme celui de son affluent la Courance, est fortement influencé par de très nombreux ouvrages hydrauliques : 38 barrages sont recensés sur le bassin du Mignon, dont 25 sur son cour principal, essentiellement des barrages à poutrelles établis depuis les années 1950-1970 afin de maintenir une hauteur d’eau minimale à l’étiage en amont de ces ouvrages. Certains permettaient de réguler les débits arrivant par les biefs aux moulins, qui ne sont plus en activité de nos jours.
Si le ruisseau des Alleuds subissait déjà des assecs au 19ème siècle (enquête de la Préfecture en 1838), le Mignon semble être pérenne en été si l’on considère les réponses des maires de Priaires et de Thorigny à cette même enquête.
Des données fournies par la DIREN provenant de mesures effectuées seulement sur 2 années (2002 et 2003) donnent un hydrogramme dont les valeurs de débits moyens mensuels varient de 6 m/s en janvier, à 2 m3/s en automne et printemps et jusqu’à zéro en juillet et aout.
Le débit annuel estimés est de 1.9 m3/s (une seule année de mesure), QMNA5 = 0, le Q10 est estimé à 60/m3/s.
D’après IBSN.CRE Guirande, Courance, Mignon 2004 .Etat des lieux-Diagnostic.

La Sèvre Niortaise

La Sèvre Niortaise
La Sèvre niortaise est un fleuve côtier qui prend sa source près de Sepvret dans les Deux-Sèvres, traverse Niort, puis descend dans le marais poitevin dont elle forme la principale artère hydraulique, pour finir par se jeter dans l’Océan Atlantique dans l’anse de l’Aiguillon en face de l’île de Ré, après avoir traversé les départements de Vendée et de Charente maritime.
La longueur de son cours est de 158,1 km[2]. À l’aval de Niort, la Sèvre niortaise et ses affluents forment un domaine navigable de plus de 100 km, organisé en sept biefs qui s’étagent de l’écluse de Comporté (Niort) à celle du Brault, au débouché dans la Baie de L’Aiguillon..
La Sèvre traverse de nombreuses communes dans le département, Sepvret, Chey, Exoudun, La Mothe-Saint-Héray, Saint-Maixent-l’École, La Crèche, François, Chauray, Saint-Gelais, Échiré , Saint-Maxire, Sciecq, Niort, Magné, Coulon et Arçais .
Les principaux affluents sont en rive droite la Jeune Autize , le canal de la vieille Autise, la Vendée, et en rive gauche, La Guirande (22 km), le Lambon (40,8 km), le Mignon (45,9 km), l’Egray (24,4 km), le Pamproux (9,2 km), le Chambon (36,1 km).
La station hydrologique située la plus en aval sur le cours de la Sèvre Niortaise pour laquelle on dispose de données hydrologiques se trouve à Niort à la Tiffardière, c’est-à-dire très loin de son embouchure. La surface de son bassin versant y est de 1 074 km², ce qui ne représente que 29,2% de sa totalité. Son débit moyen inter annuel ou module y est de 11,90 m³/s et la lame d’eau écoulée dans son bassin versant annuellement y est de 352 millimètres. Son débit mensuel y varie entre 26 m³/s en hiver en période de hautes eaux et 3.05 m³/s en été à l’étiage.)
Débit moyen mensuel (en m³/s) mesuré à la Station hydrologique de Niort (la Tiffardière) données calculées sur 40 ans[3]

Sèvre Nortaise © Alain Buchet -APIEEE

Mais les fluctuations peuvent être bien plus importantes si on considère les valeurs extrêmes suivantes. Ainsi le débit maximal instantané est de 274 m³/s (valeur mesurée le 1er janvier 1995 à minuit) tandis que le débit minimum sur trois jours consécutifs est de 0,399 m³/s (valeur mesurée entre le 28 et le 30 août 2005).

“Sèvre niortaise.” Wikipédia, l’encyclopédie libre. 25 jun 2010, 14:23 UTC. 26 sep 2010, 17:57
http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=S%C3%A8vre_niortaise&oldid=54641092

L’Autize

L’Autize
L’Autize prend sa source près de Mazières-en-Gâtine (79) à 186 m d’altitude, et est un des affluents de la rive droite de la Sèvre Niortaise, après un parcours de 67 km. Son débit moyen enregistré à St Hilaire des Loges est de 2.62 m3/s
En aval de Nieul sur l’Autise (85), elle se divise en deux branches :
” la Jeune Autise, artificielle, traverse La Porte de l’Ile. À partir de Souil, elle est canalisée et se nomme le canal de la jeune Autise, qui contourne Maillezais. Ce dernier se jette dans la Sèvre Niortaise près du vieux port de Maillé.
” la Vieille Autise, cours naturel, d’abord préservée puis largement canalisée à partir de Courdault (commune de Bouillé-Courdault) est nommée canal de la vieille Autise. Celui-ci passe à Saint Sigismond puis se jette dans la Sèvre niortaise au lieu-dit L’Ouillette à La Barbée

La Bouleure

La Bouleure
Longue de 38 km; sa vallée commence juste au nord de Sauzé-Vaussais, et se dirige vers le NNE, mais elle est sèche sur une grande partie du parcours en raison des infiltrations. On la suit par Chaunay et Brux, puis Vaux à l’est de Couhé, où le cours d’eau réapparaît, et rejoint la Dive à Voulon, dans la vallée même du Clain et juste avant leur confluent.

La Dive du Sud

La Dive du Sud
La Dive du Sud prend naissance à Saint-Coutant dans le département des Deux-Sèvres, localité située à une douzaine de kilomètres à l’est de Melle et à quatre kilomètres au sud de la bourgade de Lezay, à une altitude de plus ou moins 170 mètres. La Dive du Sud arrivée sur le territoire de Lezay, adopte une orientation ouest/est, direction qu’elle maintient tout au long du reste de son parcours. Son cours comporte de très nombreux méandres. Elle se jette dans le Clain en rive gauche à Voulon, dans le département de la Vienne.
Ces affluents sont le Fontou (en rive gauche à Payré ; envi. 3 km, cours d’eau permanent) et la Bouleure (en rive droite à Voulon ; envi. 40 km, cours d’eau temporaire une grande partie de l’année, )
Les communes traversées dans les Deux-Sèvres :
Saint-Coutant
Sainte-Soline
Lezay
Vançais
Rom
Le débit de la Dive du Sud a été observé sur 9 ans (durant la période 1996-2008), à Voulon, localité du département de la Vienne située au niveau de son confluent avec le Clain [1]. La surface ainsi étudiée est de 558 km², soit la totalité du bassin versant du cours d’eau.
Le débit moyen interannuel ou module de la rivière à Voulon est de 2,60 m³ par seconde.
La Dive du Sud présente des fluctuations saisonnières de débit importantes. Les hautes eaux se déroulent en hiver et au début du printemps, et se caractérisent par des débits mensuels moyens allant de 3,96 à 6,93 m³ par seconde, de décembre à mars inclus (avec un maximum très net en janvier). À partir du mois d’avril, le débit diminue progressivement jusqu’aux basses eaux qui ont lieu d’août à octobre, entraînant une baisse du débit mensuel moyen avec un plancher de 0,40 m³ au mois d’août.
Débit moyen mensuel de la Dive du Sud (en m³/seconde) mesuré à la station hydrologique de Voulon. Données calculées sur 9 ans.

Les crues sont généralement modérées d’observation des débits de la rivière. Le QIX 20 ou débit instantané calculé pour une crue vicennale, est la valeur du débit instantané calculé pour La Dive du Sud est une rivière peu abondante. La lame d’eau écoulée dans son bassin versant est de 147 millimètres annuellement, ce qui constitue moins de la moitié de la moyenne d’ensemble de la France (plus ou moins 320 millimètres). C’est aussi très largement inférieur à la moyenne du bassin de la Loire (245 millimètres). Le débit spécifique (ou Qsp) atteint de ce fait le chiffre médiocre de 4,65 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin.

“Dive du Sud.” Wikipédia, l’encyclopédie libre. 16 jul 2010, 05:45 UTC. 26 sep 2010, 14:32
http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Dive_du_Sud&oldid=55277515